Le Maloya.jpgRencontrez Franck, Thibault et toute l'équipe du bateau Le Maloya
Partez en mer pour un coucher de soleil au rythme de la musique.
Un coucher de soleil inoubliable à bord du plus grand catamaran de l’océan Indien.
Aujourd’hui, j’embarque avec l’équipage de Festiyacht, qui m’a promis de m’apprendre à lutter contre le blues du dimanche soir. Leur remède : une croisière en catamaran, pour profiter du coucher du soleil en musique !
Sur la darse Titan au Port, le Maloya et son équipage nous attendent. Avec un grand sourire, ils nous accueillent à bord. “Le beau temps est avec nous”, nous annonce Franck. Seuls quelques nuages se distinguent au loin, ils viendront peut-être pimenter notre coucher du soleil.
Je découvre la salle du catamaran, je n’aurais jamais cru qu’il pourrait y avoir autant d’espace sur ce bateau ! Confortablement installés dans les fauteuils, nous sortons du port. C’est notre première bouffée d’air marin, et chacun l’apprécie, après cette chaude journée. Une fois que Guy, notre capitaine, a terminé les manoeuvres pour sortir du port, nous pouvons rejoindre l’avant du bateau, pour profiter davantage des embruns.
La côte Ouest se dessine, au fur et à mesure que nous nous éloignons du port. Il est temps de hisser la voile, et de laisser le vent nous porter. Le Maloya longe tranquillement la baie de Saint-Paul et sa plage de sable noir. En arrière-plan, on aperçoit les sommets de La Réunion. Je savoure ma chance d’être sur cette île unique, où l’on n’a pas à choisir entre mer et montagne.
Quand le ciel s’embrase
Au loin, je distingue Cap Lahoussaye, et sa savane, sublimée par la lumière du soleil couchant. Allongée sur l’un des trampolines, je savoure cet instant hors du temps, bercée par les vagues. Juste à côté, certains ont commandé quelques amuse-bouches. Les feuilletés et les toasts de poisson fumé sont délicieux.
Ca y’est, le soleil flirte avec l’horizon, et le ciel s’embrase. Nous sommes tous fascinés par ce spectacle, encore plus beau depuis l’océan. Le ciel a des allures d’aquarelle géante, dont les couleurs s’estompent au fil des minutes.
Sur la côte, les lumières de la ville commencent à scintiller, tandis que le bateau s’illumine lui aussi. La musique, douce jusqu’alors, se fait plus rythmée. Il est l’heure de danser, sur le pont et sur la piste. Les tubes du moment s’enchaînent jusqu’à ce que la voix acapella de Danyel Waro résonne. Le DJ a lancé “Bat La Main”, un maloya mythique. Nous voilà en train de taper des mains et de rouler le bassin, au rythme de cette musique réunionnaise ancestrale. Après plus d’une heure à danser, nous rejoignons le port. Objectif atteint pour l’équipe de FestiYacht : je crois qu’on a tous fait le plein d’énergie pour la semaine !
