Guétali au Musée Stella Matutina

Au programme :

* Vendredi 6 décembre :
- 17h : Balade musicale (salle d'expo temporaire)
- 18h : Malakaf (extérieur)
- 19h : Kréolokoz (extérieur)
→MALAKAF (Chansons réunionnaises) : Créé en 1991 à Paris, Malakaf réunit des Réunionnais expatriés. Avec Dapolon Expédit à la baguette, le groupe propose des compositions sur des ryhtmes Maloya teintées de blues, rock ou encore reggae...

→KRÉOLOKOZ (chansons réunionnaises) : Influences voyageuses, d'océan Indien et de brises d'ailleurs. Musique Créole de la Réunion, Poèmes d'alcôves et chansons engagées pour dire les valeurs créoles, Kréolokoz propose un renouveau fait de terre et d'encens pour réchauffer les coeurs transis !

* Samedi 7 décembre :
- 17h : Fragments de "Petites Conspirations" - théâtre (dans le musée / accès gratuit)
- 18h : Joël Paraclet - jazz (extérieur)
→Fragments de « Petites conspirations » : En art tout inspire…et expire un beau jour mais sachez que tout conspire ! Restez sur vos gardes. La Compagnie La Pata Negra nous propose une visite singulière au musée Stella Matutina et nous invite à déambuler au gré de quelques conspirations de son cru. Les deux comédiens, Sandrine Ebrard et Filip Auchère, se prêtent aux espaces du Musée et au cœur du public pour nous livrer quelques extraits du spectacle « Petites conspirations ». Des fragments de vies elliptiques. Des monologues crus, incisifs et drôles. Les personnages déploient avec humour et acidité, leurs petites tragédies ordinaires mettant en lumière ces choses en apparence insignifiantes, presque invisibles mais qui racontent quelque chose de nous, quelque chose du monde. Avec Sandrine Ebrard et Filip Auchère. Écriture et mise en scène : Isabelle Martinez. Costumes et accessoires : Charles Rios. Durée : 45 minutes. A partir de 14 ans

→Joël Paraclet : Il fait incontestablement partie des valeurs sûres du paysage musical réunionnais ». Pianiste, compositeur-arrangeur, Joël Paraclet joue un jazz aux contours multiples. Influencé et inspiré par la musique métissée qu’il a découvert dès son arrivée sur l’île, il le déclare souvent : « La musique se transforme en fonction du lieu dans lequel on vit… »

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